De ta vie, je me nourris.
Tout ce que tu fais, je dévore,
Ces images où tu pleures ou souris.
Tout ce que tu peux raconter,
Toutes ces innombrables histoires,
Ces paroles que tu veux partager,
Tes récits d'espoirs et de déboires.
J'ai besoin de cette matière,
De tes tranches d'existence
Pour écrire mes faits de vers
Entre cruauté et romance.
Mais dans le tout,
Tu n'es qu'une partie,
Certes pour beaucoup
Mais jamais infinie.
Alors si tu crois te reconnaître,
C'est le poison de ton imagination,
Qui joue toujours les traîtres
En proposant mille raisons.
Et pendant ce temps-là sur Fourpoint Woman
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